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À quoi bon rechercher les éblouissements,
Convoiter le beau style et la rime parfaite…
Sans les vivats, bravos et applaudissements ?
Le triomphe est manqué ; saluez ma défaite !
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© Yannig WaTeL → 08 avril 2016
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Mais non Yannig, pas de défaite en vue en ce qui concerne ta poésie. Seulement, parfois, à cause de certaines circonstances de la vie, je parle pour mon compte personnel, on n’a pas les mots pour commenter. J’ai lu, que dis-je, je me suis délectée de « Tel grand cygne éthéré…. » je n’ai pas mis de commentaire ma plume semblait aphone et atone.
Quoi qu’il en soit, tu as su me toucher par ce quatrains et tes alexandrins parfaits me vont droit au coeur.
Bisous bien encrés 🙂
Hélène
En tant que poète moyennement doué et humoriste du même calibre, je voulais voir un peu quel succès je pouvais obtenir avec une publication qui permet 2 ou 3 (ou peut-être même encore plus) niveaux de lecture !
Oui, c’est bien de l’humour ! 🙂 Oui, enfin… De l’humour avec l’air sérieux, du pince-sans-rire !
Merci infiniment, Hélène. Chaleureuses bibises
Mais non, Yannig, et tu le sais bien : rien ne vaut la joie de créer, d’ajouter au monde quelque chose qui n’y était pas. 😉
Je ne maîtrise pas bien l’art de provoquer une connivence avec ceux/celles qui me lisent… Je dois encore progresser, je pense !
Merci beaucoup Claude, pour ce sympathique passage. Amicalement.
L’écriture elle-même est une joie qui n’a besoin de l’approbation de personne (même si cette dernière ne gâche rien, il faut bien l’avouer).
Littérature Portes Ouvertes
J’ai parfois envie de jeter l’encre… L’encre ? L’ancre ?
Merci pour l’aimable mot déposé, c’est apprécié. Amicalement.
Oh! Le chant de ce cygne
pourrait bien m’émouvoir
si je ne sentais le signe…
que l’animal peut se mouvoir…
encore avec son beau plumage…
éclaircir de blanc toujours les tristes pages
de nos vies sans ce mage,
peintre de mots doux et d’images….
C’est le chant d’un cygne
(Dont le brillant plumage
Est devenu tout noir)
Qui ne se sent plus digne
Et qui n’a plus, ni le courage
Ni l’humeur, de prolonger chaque soir
Son volubile et gai ramage
De printemps, d’amour, d’espoir !
Merci Pat, pour ces mots de douceur.
Bien à toi.
Bonsoir Yannig. Quelle défaite ? La poésie est une fête ! Ne rien attendre n’est-il pas la plus belle victoire ? L’essentiel n’est-il pas d’écrire et d’explorer le monde, l’inconnu, tous les parfums secrets de l’âme et du coeur et bien plus encore avec humilité et passion ? Doux week-end à toi, à ta plume talentueuse et à ton encrier fertile !
Merci beaucoup Nath d’être venue laisser ici ta belle empreinte de poétesse. Une belle sagesse court entre tes mots, c’est très émouvant.
kenavo
Défaite?? non;non Yannig plutôt pause pour revenir encore et encore avec tes mots qui nous enchantent;;car la poésie est et restera notre ode à nous
Merci beaucoup, Dany, d’avoir donné ton sentiment. C’est à mon sens un sentiment qui m’est précieux, car il semble en harmonie avec ta personne, n’en doute pas !
Amicales pensées.
Laisse toujours ta plume s’exprimer… Bisous
Un immense merci de réagir de façon positive à mes mots, Flore, avec ton cœur sensible et ta bonté d’âme ❣
👄 Je t’embrasse
Qui n’a pas ressenti cela….je partage….. même si c’est fait avec humour…nous sortons de nous ce qui vient, sans attendre les bravos, les vivats….Gardons notre sensibilité qui guide la plume pour nous…et la tienne n’a pas envie de se taire….à bientôt mireille
Merci beaucoup, Mireille, ça fait chaud au cœur.
En vérité, je n’aime ni lire, ni écrire, ni rire, ni séduire… Pour autant, la reconnaissance pourrait normalement me rendre heureux, quelquefois je me surprends à rêver de célébrité et c’est tout le mal que je me souhaite.
Amicales pensées
En fait on écrit pour soi…et il faut bien avouer que parfois on n’a rien à se dire !! 😉
Il est vrai que ça casse un peu la reconnaissance que l’on souhaiterait… et puis bon, ça passe, et le dialogue avec soi-même revient…
Amicalement
Je pense que tout a été dit dans les commentaires précédents, mais si je peux en rajouter une, ce sera celle-ci:
« Sans recherche de victoire, il n’y a pas de défaite. Sans adversaire, il n’y a que des victoires. »
Peut-être est il temps de se remémorer pour quels raisons vos premiers écrits sont nés. Je ne pense pas que cela soit pour la victoire.
Mais peut être que je me trompe.
Fabien.